Joseph Kacem
Diffusion, biblio, actus, dossier de presse...
"Une écriture taillée à la serpe dans de la viande rouge" (Jean-Paul Pascal, RGO)
"L'écriture est alerte, crue mais pleine d'humour..." (Céline Godin, La Tribune)
"Vite, vite, suivez Joseph Kacem, vous ne savez pas jusqu'où il vous mènera, et c'est ça qui est bon." (Serge Quadruppani, écrivain)
"L’antipodiste Kacem est totalement aux antipodes du cliché poétique et de son auteur." (Cristian Ronsmans, directeur à la retraite du secteur littérature Hachette)
Hurlements d'une Brindille
suivis de Quatrains en scalpel
« L’antipodiste Kacem est totalement aux antipodes du cliché poétique et de son auteur. »
(cit. C. Ronsmans)
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« La ligne poétique de Joseph Kacem est une trajectoire improbable. Une ligne sans cesse brisée à la recherche d’un corps perdu. Le sien ! Un corps qui rassemble sexe, rage ou émotion vive, brutale, et sublimation des deux. »
(cit. C. Ronsmans)
Simorgh du Gard, juin 2017
86 pages - Couverture souple en dos carré collé
Format A5 (14,81 cm x 20,98 cm)
ISBN : 978-1-326-99650-5
Préface de Cristian Ronsmans
PRIX : 13 euros (+ le port -> 3 euros auprès de l'éditeur)
Extrait de la préface de Cristian Ronsmans:
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Le philosophe et poète allemand, Hölderlin disait : « La poésie est un jeu dangereux »
Il me semble qu’il eut été mieux inspiré de dire que la poésie est dangereuse pour celui qui la vit comme pour celui qui la reçoit. Autrement elle ne serait pas.
Tout au plus un truc de cour, un trait d'esprit ou un sonnet de précieux pour "passer le temps" et se faire bien voir, s’afficher davantage.
Ce n’est pas ce que fait Joseph Kacem. L’antipodiste Kacem est totalement aux antipodes du cliché poétique et de son auteur.
Pour lui et c’est d’une telle évidence, la poésie est un « je » dangereux. Il ne s’agit pas d’un « je » pour se divertir, être autre, mais bien un « je » qui entre dans le jeu dangereux, pour le coup, de l’exploration du « je ».
Celui qu’on répugne souvent à regarder. Et si tant est que cela l’embarrasse, ce dont on ne peut qu’en douter, Joseph Kacem met son « je » à l’épreuve de l’outre conscience. Ce chemin est rude, escarpé, violent comme toute initiation. « Mettre son je en jeu » peut s’avérer être un exercice extrêmement « casse gueule ».
Il va dans ce recueil taillé au scalpel entailler, le plus profond de son invisible, de frappes chirurgicales ciblées [...]